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vendredi 8 septembre 2023

Way4Space détaille son symposium dédié à la logistique spatiale


L'association Way4Space, dédiée à l'innovation, mais aussi à l'idéation dans le secteur spatial, organise les 5 et 6 octobre à Mérignac son troisième séminaire "NextSpace". Cette édition 2023 sera consacrée à la " Space Logistics ", ou comment produire et travailler dans l'Espace.


Voici le programme, très prometteur, qui comprend la liste des conférences, avec des intervenants de tout premier ordre.

Inscriptions ouvertes et possibles à cette adresse (séminaire professionnel, tarif de 60€ la journée, 100€ les deux jours). Le symposium se déroule au tout nouveau business center Blue Bamboo de Mérignac, face à l'aéroport de Bordeaux. 




mercredi 12 avril 2023

6ème Congrès de l'AEGES du 7 au 9 juin 2023 à Bordeaux


L’Association pour les études sur la guerre et la stratégie (AEGES) organisera la 6ème édition de son congrès bisannuel les 7, 8 et 9 juin 2023 à Bordeaux. Cet événement se veut un espace de socialisation et de discussion scientifiques permettant de rassembler très largement la communauté des chercheur.e.s travaillant sur la guerre et la stratégie, quel que soit leur encrage disciplinaire.

Tous les détails disponibles sur le site de l'événement. 

 




mercredi 25 janvier 2023

[Replay] NextSpace, le symposium annuel de Way4Space à Bordeaux


Alors que la date du prochain symposium européen NextSpace de Way4Space a été révélée (ce sera donc les 5&6 octobre 2023), retour en vidéo sur une édition 2022 particulièrement réussie. Pour rappel, une partie du monde spatial s'était réunie à Bordeaux pour débattre d'une utilisation éthique et responsable de l'espace. Une vraie vision européenne. 


Vous êtes encore très très nombreux à venir consulter le programme (ICI) du symposium NextSpace consacré à une activité spatiale éthique et responsable, qui s'est déroulé à Bordeaux en octobre dernier. Sachez donc que l'intégralité des débats (discours, keynotes, tables rondes) est désormais disponible en vidéo sur la chaîne Youtube du think tank aquitain.


Visionner ci-dessous l'intégralité des débats de NextSpace 2022 :

 


vendredi 25 novembre 2022

L'Énergie solaire spatiale : future rupture stratégique ?


Face au défi climatique, face à la crise des énergies… une partie de la solution ne pourrait-elle pas venir de l'espace et des centrales solaires orbitales ? C'est la question que s'est posé cette année le centre européen d'inspiration spatiale Way4Space, basé à Saint-Médard-en-Jalles près de Bordeaux, dans une étude intitulée "Géopolitique de l'Énergie solaire spatiale". 

Ci-dessus: illustration de l'initiative européenne Solaris - capture vidéo de promotion ESA


Ce mercredi 23 novembre, en réunion de niveau ministériel, les membres de l'Agence spatiale européenne (ESA) ont voté un budget triennal de 16,9 milliards d'euros. Un budget -en hausse- qui comprend des missions d'exploration spatiale, d'observation de la Terre, ou encore les moyens d'accès à l'espace.
Mais au sein de ce budget, on trouve également le financement de programmes de recherches, et pour quelques dizaines de millions d'euros (tout de même), celui de l'initiative Solaris :


Solaris est une initiative de l'ESA qui doit évaluer d'ici 2025 les solutions touchant au domaine du "Space-Based Solar Power", ou autrement dit chez nous, l'Énergie solaire spatiale. Assez connu des spécialistes et des passionnés, le sujet reste néanmoins largement invisible aux yeux du grand public. Ce qui pourrait bientôt changer… 

De façon parallèle et indépendante, j'ai justement eu la chance ces derniers mois de mener un travail d'étude prospective lors d'une collaboration sur ce sujet précis avec Way4Space, le centre d'inspiration spatiale basé en Nouvelle Aquitaine. En effet, lors d'une réflexion préliminaire collégiale, nous avons rapidement identifié ce thème comme pouvant tout à fait s'insérer dans l'économie spatiale de demain. 


L’Énergie solaire spatiale : éternel concept de science-fiction ?

Dans son œuvre Reason en 1941, Isaac Asimov exprime le rêve de produire dans l’espace grâce au soleil une énergie propre, inépuisable et bon marché. Le Space-Based Solar Power, breveté au début des années 1970 aux USA sous la forme des "SPS" (pour Solar Power Satellites),  n’en est que la forme moderne. 

L'idée est simple, sur le papier (vulgarisons donc): l'énergie solaire est gratuite, propre, et inépuisable. De plus, affranchie des limites posées par notre atmosphère terrestre, sa captation directement dans l'espace est très largement supérieure à ce que nos panneaux photovolvaïques reçoivent sur Terre. Reste à ramener cette énergie depuis l'orbite, pour la convertir en électricité et l'intégrer à notre réseau énergétique: ce qui passe par la transmission à distance, sous forme de micro-ondes ou de laser.


Si le concept prend de la consistance durant la guerre froide, aucun programme n'est jamais lancé, ni à Washington, ni à Moscou. La problématique reste néanmoins étudiée par les scientifiques et les agences spatiales, de l'Inde au Japon, en passant par la Chine ou l'Europe. Tandis que l'innovation progresse, et surtout, que le monde spatial entame sa révolution. 
 
Le rêve serait donc en voie de devenir réalité alors que les études de faisabilité successives tendent à démontrer que les centrales solaires orbitales ne représentent pas, ou plus, un défi technique insurmontable.

Même si les moyens à déployer s’avèrent considérables (des superstructures orbitales d'échelle kilométrique), les innovations technologiques et la profonde transformation du marché spatial laissent augurer une faisabilité à moyen terme, la voie étant désormais ouverte pour une véritable économie en orbite dès 2040. Sur le plan politique, le processus de validation de tels investissements à long terme tarde à se concrétiser. Mais de nouvelles contingences (crise climatique, défi de l’indépendance énergétique, etc.) pèsent dorénavant sur nos sociétés et poussent à une évolution des politiques énergétiques. Des contraintes qui appellent de nouvelles solutions ?

Les récentes études européennes concluent qu'une "constellation" d'une cinquantaine de centrales solaires orbitales positionnée sur orbite géostationnaire pourrait fournir jusqu'au tiers des besoins électriques du continent en 2050. Sans aller jusqu'à cette objectif très ambitieux, l'Énergie solaire spatiale apparait d'ores et déjà comme une solution de rupture qui pourrait être intégrée au futur mix énergétique de nos sociétés.
Les conclusions sont sensiblement les mêmes parmi les autres puissances spatiales, en particulier en Chine, où il existe une véritable volonté de mener un tel programme. 


Émulation internationale entre puissances spatiales

Un travail de cartographie des projets touchant au Space-Based Solar Power a donc été réalisé par Way4Space. Il démontre que, les unes après les autres, les puissances spatiales établissent des feuilles de route visant à l’accomplissement de programmes d’Énergie solaire spatiale. Il nous offre l’occasion d’établir une prise de vue qui, de 1970 à 2070, constitue la photographie potentielle d’un siècle de Space-Based Solar Power. Il montre aussi que la technologie permet d’imaginer demain l’impensable d’hier (baisse sensationnelle du coût de l'accès à l'espace, progrès de la robotique…).

Surtout, l’étude quantifie une certaine accélération dans l’émergence des acteurs ou des travaux affiliés, signe que la problématique accède désormais à un rang de considération supérieur pour ce qui constitue peut-être la source d’une rupture énergétique et donc stratégique ?

En effet, comment réagiront les puissances face à un tel bouleversement des flux traditionnels des ressources énergétiques ? Certains acteurs, comme l'Europe, peuvent-ils s'affranchir ainsi de leurs dépendances tout en s'inscrivant dans la réalisation de leurs objectifs de décarbonation ? 
De telles superstructures orbitales feront elles l'objet d'un effort sans précédent de collaboration internationale, comme le pensait Abdul Kalam en Inde ? Ou seront-elles au contraire des assets souverains fondamentaux, à protéger ?

A noter que j'évoque ici surtout l'intérêt civil, mais que bien sûr, il existe des travaux militaires sur la question, et cela pour des besoins évidents (la projection de forces). Les laboratoires de recherche de l'US Air Force ou de la Navy sont particulièrement en pointe dans ce domaine, et devraient placer sur orbite des démonstrateurs dans les toutes prochaines années. Une expérience était même embarquée sur la dernière mission du drone spatial américain X-37B.

Illustration de François Schuiten pour l'AID -© Red Team Défense, 2022.

En France, c'est la Red Team de l'Agence d'Innovation de défense (AID) qui a publié en 2022 un scénario intitulé "Après la nuit carbonique", dans lequel des forces projetées sur un théâtre asiatique dans les années 2050 devaient faire face à un drastique rationnement énergétique. 


Si vous désirez en apprendre plus, découvrir ce rapport, ou même en cas d'intérêt professionnel et/ou scientifique pour les axes d'innovation qui touchent à cette question du Space-Based Solar Power, il est possible de contacter Way4Space via le site internet www.way4space.com.


mercredi 23 novembre 2022

17 milliards d'euros pour l'ESA, et une nouvelle promotion d'astronautes !

Evénement particulièrement attendu, la réunion de niveau ministériel de l'Agence spatiale européenne (ESA) a permis de valider un budget triennal de 16,9 milliards d'euros. En hausse. Mais encore, la nouvelle promotion d'astronautes européen a été révélée, avec en son sein, des Français !

Ci-dessus: la nouvelle promotion d'astronautes de l'ESA ! 


L’ESA se réunissait pour sa grand messe à Paris ces 22 et 23 octobre. A l'issue de cette ministérielle, l'agence a annoncé un budget de quasiment 17 milliards d’euros, soit une hausse de 17 % par rapport au dernier exercice.

A la fin, des congratulations, mais paradoxalement, l'Agence attentait bien d'avantage: 18,5 milliards. Son directeur Josef Aschbacher se félicite néanmoins de l'octroi de ce budget une nouvelle fois en hausse (après le net bon de 40% effectué en 2019), dans un contexte économique compliqué. 

Et comme souvent, ce sont les graphiques qui nous en disent le plus :


D'Ariane 6 à "Iris²", la constellation de connectivité souveraine voulue par l'UE, les principaux programmes sont financés comme prévu ou presque (Exomars, sanctionné par la guerre en Ukraine, passe de 2022 à 2028). 

L'un des prochains grands événements pour l'ESA sera par exemple la mise en orbite en 2024 du SpaceRider de Thales Alenia Space, le drone spatial européen (tout de même moins ambitieux et surtout moins secret que le X-37B américain). 

Nous aurons très vite l'occasion d'en reparler. 


S'agissant des financements par pays, l'Allemagne consolide sa "première place" chipée par surprise à la France en 2019 à Séville. Cela conforte un leadership qui se traduit directement au travers du principe de retour géographique (plus un Etat s'engage financièrement, plus il reçoit d'activité industrielle).
La France suit directement avec 3,2 milliards, devant l'Italie. Soulignons d'ailleurs l'effort assez phénoménal de cette dernière pour coller aux deux leaders, qui possèdent des économies autrement plus puissantes sur le papier.

Ce trio, avec plus de 3 milliards d'euros engagés pour chacun (3,5 pour l'Allemagne), en nette hausse, impose clairement le tempo. Alors, émulation… ou rivalité ? 

Dans l'ensemble, tous les Etats font donc un effort, preuve que les gouvernements ont bien saisi les enjeux du spatial. Il faut l'espérer.


Une pilote du "Pyrénées" nouvelle astronaute française !

Pas -encore- de programme de vol habité dans le budget de l'ESA… mais l'autre nouvelle, celle qui fera la Une des médias, c'est bien sûr la révélation de la promotion 2022 d'astronautes de l'agence européenne… 17 femmes et hommes avec, pour succéder à Thomas Pesquet, une française ! Deux en réalité puisque la "réserve" comporte également un Français. C'est bien la moindre des choses, puisque les français ont trusté environ le tiers des 22 000 candidatures reçus par l'ESA !

Il s'agit, enfin, d'une reconnaissance pour l'armée de l'Air et de l'Espace.

Notre nouvelle astronaute se nomme donc Sophie Adenot, 40 ans. Elle est diplômée d'Isae Supaero et du MIT, et a évolué au sein d'Airbus Helicopters. Mais Sophie Adenot est surtout lieutenant-colonel et une pilote d'hélicoptère chevronnée sur Caracal (3 000 heures de vol) au sein de l'escadron 1/67 "Pyrénées", basé à Cazaux. Elle a notamment servi deux fois en Afghanistan. 

Figure médiatique de nos armées, elle intègre la DGA en 2018 et devient la première femme pilote d'essai expérimental sur hélicoptères, toujours à Cazaux.

Une riche carrière donc, qui la verra atteindre le firmament: l'espace. Et la ligne de mire n'est plus seulement l'orbite, mais bien aussi la Lune. Elle comme Thomas Pesquet peuvent légitimement espérer faire partie de l'aventure Artemis. Sophie Adenot devra néanmoins passer par la longue phase d'apprentissage du métier. Rappelons que Thomas Pesquet, issu de la promotion 2009, avait dû attendre 2016 pour sa première mission à bord de l'ISS. 



Si le lieutenant-colonel Adenot fait bien partie de l'équipe titulaire de cette promotion de l'ESA (ils sont seulement 5), le corps de réserve comporte également un Français, et encore une fois de la DGA : il s'agit Arnaud Prost, ingénieur militaire et pilote au sein de DGA Essais en vol à Istres. Il est membre de l’équipe intégrée d’essais en vol du Rafale. Il est breveté pilote de chasse.



vendredi 18 novembre 2022

Appel à communications de l'AEGES pour son prochain congrès, à Bordeaux

 


L’AEGES lance un appel à communications pour son prochain congrès, qui aura lieu du 7 au 9 juin 2023 à Bordeaux.


L’Association pour les études sur la guerre et la stratégie (AEGES) organisera la 6ème édition de son congrès annuel les 7, 8 et 9 juin 2023 à Bordeaux. Cet événement se veut un espace de socialisation et de discussion scientifiques permettant de rassembler très largement la communauté des chercheur.e.s travaillant sur la guerre et la stratégie, quel que soit leur encrage disciplinaire.

Les propositions de communication devront s’insérer dans l’une des 23 sections thématiques retenues, dont vous trouverez la liste synthétique, puis une présentation détaillée à partir du lien suivant. Date limite le vendredi 23 décembre.

Coté public, rendez-vous sur ce blog dans les prochains mois pour de nouvelles informations !


Liste des panels:

  1. Ce que veulent les armes. Penser l’éthique de la guerre au prisme des armements 
  2. Dans la tête des décideurs : pour une analyse des conflits internationaux à travers les personnalités et les croyances individuelles 
  3. Émotions, représentation de soi et reconnaissance : des enjeux négligés de la guerre ? 
  4. Retour de la guerre, retour en guerre ? 
  5. Enjeux et limites de l’aide militaire étrangère à l’Ukraine 
  6. Images de/dans la guerre 
  7. Le recours à la force dans les rapports internationaux : légitime défense vs. Agression
  8. Faire la guerre sur mer : une affaire d’État ? Une approche sur le temps long 
  9. Théories et méthodes pour une géographie critique du fait militaire 
  10. Approches socio-historiques de la production des savoirs sur la guerre, la stratégie et les armées. 
  11. Stratèges, stratégies et culture stratégique de l’Afrique subsaharienne des 19ème et 20ème siècle 
  12. États, armées et formes de guerre privée dans les mondes grecs antiques (VIIIe-Ier siècles a.C.) 
  13. L’altruisme paroissial dans les conflits entre groupes 
  14.  L’autonomie stratégique de l’Union européenne en matière de défense 
  15. Histoire et actualités des armes chimiques : des recherches impossibles ?
  16. La violence des femmes, un mauvais genre ? Productions, représentations et récits des violences féminines dans les conflits armés 
  17. Partage et pré-positionnement des armes nucléaires : enjeux politiques, juridiques et stratégiques 
  18. L’autonomie : une transformation du caractère et de la nature de la guerre ? 
  19. Mutations du multilatéralisme sécuritaire au XXIème siècle 
  20. Changement climatique, crises et conflictualité 
  21. Guerre(s) et cinéma(s) 
  22. L’intendance suivra ? Le logement militaire en Occident (Antiquité – temps présents) 
  23. Émotions et stratégie.

lundi 26 septembre 2022

Nextspace 2022 - Une utilisation éthique et responsable de l'Espace est possible


Pour la seconde année consécutive, Way4Space organise un grand rendez-vous consacré aux problématiques qui animent un secteur spatial en plein bouleversement. 
Le Symposium européen NextSpace 2022 se déroulera ainsi à Bordeaux dans le cadre du prestigieux Institut culturel Bernard Magrez les 6 & 7 octobre. Il s'agit d'un événement gratuit, sur inscription.


Dans sa fonction « Think Tank », le Centre d’innovation spatial Way4Space organise annuellement un événement inspirant qui rassemble des responsables et experts français, européens et internationaux autour d’un thème d’intérêt pour son activité de recherche. En 2022, celui-ci cherchera à répondre à l’enjeu suivant :

« Vers une approche éthique et responsable des activités spatiales ».



Pour garantir la durabilité des activités spatiales, il est en effet indispensable de réfléchir à un développement « responsable et éthique » des fonctions à vocation spatiale. 

Pour cela, le symposium, qui se déroulera les 6 et 7 octobre prochains à l’Institut Magrez à Bordeaux, s’organisera en 4 séquences principales qui se donnent pour but de :
  1. Comprendre le milieu spatial pour en tirer parti de façon éthique et responsable;
  2. Définir la durabilité des activités spatiales, sur Terre et dans l’espace voisin;
  3. Imaginer un projet spatial global responsable et éthique;
  4. Présenter des démarches spatiales responsables et éthiques.
Les travaux démarreront le jeudi 6 octobre à 14h et se poursuivront dans la journée du 7 (9h-17h).


Pour venir écouter les débats (j'aurai moi-même le plaisir de vous y retrouver), et participer aux travaux, les inscriptions sont ouvertes et disponibles en suivant le lien ci-dessous: 



Programme et intervenants (cliquer pour agrandir) :









vendredi 29 juillet 2022

Le symposium annuel de Way4Space se déroulera les 6 & 7 octobre à Bordeaux


Après une édition 2021 (la première de l'histoire de cette jeune structure) consacrée justement au "Next Space", Way4Space, le centre européen d’inspiration spatiale basé à Saint-Médard-en-Jalles, organise cet automne la seconde édition de son symposium. Un événement qui sert avant tout à susciter l'échange.


Intitulé Nextspace 2022, il sera consacré à la question de la durabilité dans le spatial, et prendra pour cadre général de réflexion une « une approche éthique et responsable des activités spatiales ».

Le symposium s’organisera en 4 séquences :
  1. Comprendre avec justesse la notion « d’environnement spatial »;
  2. Définir des principes de « durabilité » des activités spatiales;
  3. Réfléchir à un modèle « responsable et éthique » des activités spatiales;
  4. Proposer quelques solutions étudiées par Way4Space ou d’intérêt pour sa réflexion.


Rendez-vous donc les 6 et 7 octobre dans un lieu de prestige à Bordeaux, pour une événement très riche en réflexions de haut niveau. Plus de détails (dont le programme et les intervenants), et inscriptions, dès la rentrée de septembre ! On en reparlera très activement ici.


vendredi 1 avril 2022

Nouvelle école d'été « Défense & Espace » du 20 au 24 juin à Bordeaux

 

Nouvelle année, nouvelle école d'été ! Cette formation dédiée au spatial de défense se tiendra du lundi 20 juin au vendredi 24 juin 2022, simultanément en présentiel à Sciences Po Bordeaux (avec un nombre de places limité), et en distanciel sans limite de places.


L’École d’été s’adresse exclusivement aux étudiants, chercheurs, universitaires et professionnels civils et militaires concernés. Au travers de conférences et d’échanges avec des intervenants de haut niveau provenant de différents milieux (institutions civiles et militaires, françaises et européennes ; industries aérospatiales), les auditrices et auditeurs bénéficient d’une formation complète sur les enjeux de défense liés à l’espace extra-atmosphérique.

Créée par la chaire « Défense & Aérospatial », l’École d’été « Défense & Espace » a pour objectif de partager, selon une approche globale et pluridisciplinaire, la connaissance sur la place du spatial dans la sécurité internationale et d’éveiller ses auditrices et auditeurs aux enjeux et défis que ce nouveau champ opérationnel et de conflictualité pourrait constituer au XXIème siècle. Elle aborde aussi la façon dont la France, l’UE et l’Alliance conçoivent son usage pour se protéger ou se mettre en posture d’actions politiques et opérationnelles. Enfin, elle traite de la dimension économique du spatial de défense et permet de découvrir la base industrielle et technologique de défense (BITD) spatiale, nationale et européenne.

L’École d’été fait appel à des experts de très haut niveau des questions stratégiques, opérationnelles, économiques et industrielles liées à l’espace. Ils ont pour mission de mettre en perspective les grands enjeux sécuritaires et les défis de l’environnement spatial pour les décennies à venir et d’inscrire leur discours dans une logique d’anticipation stratégique. Ils sont issus des institutions spatiales nationales et européennes, des Armées, de l’université et de l’industrie spatiale.

Le candidat peut choisir de s’inscrire pour une participation en présentiel (dans la limite des places offertes) ou bien en distanciel (sans limite de places). L'inscription est obligatoire pour l’ensemble des auditeurs.
Concernant les frais de participation, les auditeurs de la version distancielle en seront exemptés. En présentiel, les frais, dont l’objectif est de couvrir les coûts logistiques, seront de 100€ pour un étudiant et de 200€ pour un professionnel, universitaires compris.