Belle attention que celle d'Airbus Helicopters qui a posé vendredi 9 février son dernier né, l'ultra-moderne H160 devant la non-moins moderne usine Safran Helicopters Engines de Bordes, près de Pau.
Images: Safran Helicopter Engines
L’un des trois hélicoptères de dernière génération Airbus H-160 produits à ce jour s'est posé ce 9 février à Bordes près de Pau, devant l'usine Safran où sont produits les moteurs de l'appareil, les fameux Arrano.
Malgré le froid, les employés de Safran Helicopter Engines, l'ex-Turbomeca, étaient rassemblés devant leur lieu de travail pour découvrir le dernier né d'Airbus Helicopters, équipé des deux moteurs Arrano pour une puissance de 1 100 à 1 300 chevaux.
Une centaine de ces moteurs, connectés (donc plus simple à entretenir) et plus économiques (10 à 15% d'économie de carburant), devraient être fabriqués chaque année à Safran HE.
Lire sur le blog: Le H160 d'Airbus sera le futur hélicoptère interarmées léger
Une centaine de ces moteurs, connectés (donc plus simple à entretenir) et plus économiques (10 à 15% d'économie de carburant), devraient être fabriqués chaque année à Safran HE.
Lire sur le blog: Le H160 d'Airbus sera le futur hélicoptère interarmées léger
Airbus entend faire du l'ultramoderne H160 une success-story, tant dans le privé que dans le secteur public, où l'appareil devrait être décliné pour de multiples besoins comme la sécurité civile... et bien sûr le programme d'hélicoptère interamées léger pour les militaires (HIL).
Si la version civile doit obtenir sa certification en 2019, la militarisation du H160 - vers un "H160M" donc - sera le défi des années 2020. La LPM en cours de discussion repousse le programme à 2022 si tout va bien, pour des livraisons à partir de 2025.
La cible théorique est de 169 appareils. Le défi est bien sûr de pouvoir remplacer plusieurs modèles d'hélicoptères anciens (du Dauphin à la Gazelle, en passant par le Fennec) tout en satisfaisant les besoins des trois armées, ce qui ne sera pas aisé !
Maquettes de H-160M lors des journées de l'aérocombat de Pau le 8 février 2018 - Photo Aérobuzz |
La cible théorique est de 169 appareils. Le défi est bien sûr de pouvoir remplacer plusieurs modèles d'hélicoptères anciens (du Dauphin à la Gazelle, en passant par le Fennec) tout en satisfaisant les besoins des trois armées, ce qui ne sera pas aisé !
— Safran Helicopter Engines (@SafranHCEngines) 9 février 2018
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